BONNE ANNEE DE LA PART DE Roland VINCENT Maire d'AIGUEZE, le conseil municipal et les employés communaux

L'ARDECHE LOIN D'ETRE CLAIRE !

Hervé VENTAJOL guetteur au chevet de l'Ardèche depuis la nuit des temps attire régulièrement mon attention sur l'état préoccupant de la rivière qui en plus de charrier des masses de mousse blanche est trouble sur toute sa profondeur, cette turbidité se dépose même sur les rives.

"Bonjour à TOUS,

Mon voisin de village, pour avoir fait une descente en barque à partir de Gournier pour récupérer des sangliers, m'a informé que hier samedi 17/12/2011 l'eau de l'Ardèche sentait mauvais, les pollutions étaient collées sur les bords des rochers et que le fond (lit) était noir, dépôt de petites saletés."

Patrick MARRON ASSUME LES TACHES D'EMPLOYE TECHNIQUE POLYVALENT

Beaucoup de compétences et de virtualités pour PATRICK qui s'investit pour son village tous azimuts : encombrants, taille des arbres, débroussaillage, branchements et réparations sur le réseau, entretien des rues et places, entretien des stations de relevage, etc...

Courant Janvier il rejoindra la fonction publique territoriale après 4 mois de CDD où il a pu montrer sa détermination et s'assurer qu'il pourrait réussir dans cette fonction.

DES TRAVAUX DE REFECTION SUR LA PLACETTE

Les travaux sur la PLACETTE avancent à grands pas (ou presque !)

MIELLERIE Yann FRICAUD

MAISON Joël VINCENT

MAISON GROUWET (ancienne maison DUMAS)

APERO POUR LA TITULARISATION DE FRED

La municipalité d'Aiguèze était représentée dans la salle du foyer socio éducatif peyrolais par Pierrette et Roland VINCENT, Mireille CHABOT, Jean-Paul VENTAJOL, Didier MARRON, Alexandra CHARRET et Patrick MARRON, les municipalités de St Julien et de St Martin d'Aiguèze étaient aussi représentées par des conseillers et le personnel. (A noter qu'on reconnaît les St Martinois à leur auréole fossile marquant une humidité résiduelle).

La gendarmerie était représentée par l'adjudant-chef au nom du capitaine TOURNAY. Le garde champêtre était bien entouré pour une fois qu'il n'était pas à la tâche en tant que bras armé des maires au titre de leur pouvoir de police.

Tout le monde à tour de rôle a souligné les qualités de Frédéric qui s'est assis avec compétence et énergie dans son rôle au service des populations des trois villages.

L'apéritif qui a suivi a permis à chacun d'échanger à bâton rompu sur les problèmes récurrents de chaque village par les temps qui courent.

Fred conclut par ces mots : " Je tiens à remercier les maires et adjoints, les conseillers municipaux, les employés municipaux des trois communes qui m'ont permis une très bonne intégration au sein des collectivités ... ainsi que les Gendarmeries de PONT

SAINT ESPRIT et BOURG SAINT ANDEOL pour leur concours dans mon quotidien, des techniciens de la Police de l'Environnement des Gorges de l'Ardèche et bien sûr de l'accueil de la population à mon égard."

Feu vert est donné au garde de la police rurale pour sortir son carnet de contraventions et en user sans modération ... (je rigole bien sûr !)

Alex en admiration devant un verre de blanc !

LE NOEL DES PETITS AIGUEZOIS AVEC "LES SOURICEAUX INTELLOS"

Quelques images en attendant le texte mûri par Béatrice. (double cliquer desssus pour les faire défiler en grande taille)

Enfin le voilà :

Samedi 10 décembre 2011, le père Noël avait invité les petits aiguézois à venir le retrouver à l’ancienne école . Les nombreux enfants ont pu assister à un spectacle de magie en compagnie du formidable Magic Michel qui n’a pas hésité à les prendre comme apprentis sorciers : Un moment captivant pour nos petits bouts de chou mais… aussi… pour les plus grands !...

A peine finissait-on de récompenser les dessins des enfants que le père Noël a pointé sa barbe blanche et sa hotte chargée de cadeaux…..un petit mot gentil à chacun, la photo au pied du sapin et hop ! il était reparti pour un autre rendez-vous, ailleurs, où d’autres enfants l’attendaient avec impatience.

L’après midi s’est finie autour d’un goûter de Noël …

Joyeux Noël et Bonne Année 2012 à toutes et Tous de la part de Béatrice et des Souriceaux Intellos

LE PRIMEUR CHABOT DE LA TOUR PARADIS A COULE AVEC GOULEYANCE

Le vin nouveau, "Côtes du Rhône" primeur a coulé avec gouleyance tout le week-end dans la cour de la Tour Paradis. Il côtoyait les vins charpentés rouge, rosé et blanc qui s'offraient également à la dégustation avec, cerise sur le gâteau, le breuvage constitué par un vin de vendanges tardives du doux nom qui fleure bon la gelée blanche : "Plouvine".

Pour faire passer le vin dégusté bien sûr avec modération par les nombreux visiteurs, il y avait des produits du terroir : châtaignes grillées par Monsieur CASTANIER, pélardons de la garrigue et saucisson de l'Ardèche.

article Jacques MEUNIER La TRIBUNE

Merci à la famille CHABOT pour la convivialité de son accueil.

LE MARCHE GOURMAND DU 13 NOVEMBRE

MARCHE GOURMAND :

Le marché gourmand organisé DIMANCHE 13 NOVEMBRE par des commerçants sous l’initiative de Vincent DERUE (commerçant du marché estival entre autre) n’a malheureusement pas connu l’affluence habituelle. Néanmoins la somme de 280 € (bénéfice de cette manifestation) a été remise à la mairie qui paiera la publicité du Midi Libre et reversera le reste pour le Noël organisé par l’ association « les souriceaux intellos ».

SEMAINE EUROPEENNE DES DECHETS Avec le SITDOM

Le Sitdom, partenaire de la Semaine Européenne des Déchets qui se déroulera du 19 au 27 novembre prochain.

Avec 4 actions labellisées sur le territoire, petits et grands pourront être sensibilisés aux problématiques de déchets ? et plus particulièrement la prévention déchets, qui vise à réduire les quantité et la toxicité des ordures ménagères.

SitdomProgramme des actions SERD 2011

Jeudi 24 novembre 2011 – Ecole, de Gaujac

Atelier de l’éco-consommation « sachons choisir nos achats »

Mettre les enfants devant des choix de consommation au travers de la commande de fournitures scolaires. Ils identifient des critères de choix, se questionnent sur la provenance des produits, leur toxicité, leur emballages, leur matière, leur prix et débattent de leurs différents choix.

Vendredi 25 novembre 2011 – Ecole, de Codolet

Du plastic au papier

Réalisation d’éco-sacs en papier réutilisé, par une technique de pliage et une colle issue de matériaux naturels (farine). Sensibilisation au volume de papier jeté et à sa réutilisation en brouillon.

Lundi 21 novembre 2011 – Ecole, Le Pin

A l'école du goût

Les enfants classent leur goûter comme respectueux ou non de l’environnement puis ils confectionnent un goûter « zéro déchet ». En lien avec la boite à goûter distribuée par le Sitdom.

Samedi 26 novembre 2011 - Caserne Pépin, Pont St Esprit

Objectif Tri

L’association Vivre à Pont St Esprit et le Sitdom proposent un après-midi informatif et récréatif autour des déchets. Au programme : jeu de « la loi du tri » qui aborde aussi les actes d’éco-consommation et de prévention, information-vente de composteurs individuels, exposition de sculptures réalisées par un artiste local travaillant à partir de la récupération de métaux, conférence-débat « du tri à la prévention », apéritif de clôture, labellisé zéro-déchet.

CONTACT PRESSE :

Jérôme Buiguès Chargé de Communication Tri/Recyclage/Prévention

jbuigues@sitdom30.fr

Syndicat Intercommunal de Traitement des Déchets et Ordures Ménagères de Bagnols/Cèze et Pont St Esprit

115, avenue de la roquette ZA de Berret 30200 Bagnols sur Cèze

Tél. 04 66 90 58 00 - Fax. 04 66 82 98 35

Mob. 06 70 15 93 60

www.sitdom30.fr

LE CONSEIL A VOTE L'INSTAURATION DE LA TAXE D' AMENAGEMENT à 4,5 %

LA TAXE D’AMENAGEMENT REMPLACE LA TAXE LOCALE D’EQUIPEMENT :

Le conseil a adopté la taxe d’Aménagement qui correspond à la taxe exigible pour les nouvelles constrcutions en remplacement de la TLE. Il s’agit de faire participer au plus près de la réalité les nouvelles constrcutions aux faris de viabilisation (réseaux) en complément de la Participation Voirie et Réseaux (modulable selon les zones) et de la Redevance de Raccordement à l’égoût. Le conseil a retenu le taux de 4,5% sur l’ensemble de la commune. Cetaux s’applique sur la surface de la maison, elle est calculée par l’administration fiscale.

Les contributions d’urbanisme actuelles

Par principe, le financement des équipements publics est assuré par les collectivités territoriales grâce à la perception des impôts locaux. Cependant, ces dépenses ne peuvent plus être prises en charge par leur seul budget général.

La fiscalité de l’urbanisme appliquée aux autorisations d’urbanisme (permis de construire, permis d’aménager, déclarations préalables...) permet d’assurer le financement des équipements publics (voiries, réseaux, infrastructures et superstructures...) nécessités par le développement urbain.

Exonérations de plein droit : Les constructions et aménagements

destinés au service public

Les constructions aidées (PLAI)

Les locaux agricoles

Les constructions et aménagements réalisés dans les périmètres

des OIN, des ZAC et des PUP

Les aménagements prescrits par un PPRI

La reconstruction de locaux sinistrés

La reconstruction à l’identique d’un bâtiment détruit ou démoli

depuis moins de dix ans

Les constructions dont la surface est inférieure ou égale à 5 m²

Pour en savoir plus :

http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/QR_du_27_juin_2011_pour_internet_O_O.pdf

COMMEMORATION DE LA VICTOIRE DU 11 NOVEMBRE 1918

Après la sonnerie des cloches, rappelant celles de l'armistice ou de la victoire, en tous cas de al fin des hostilités donc de l'affreuse guerre, le cortège avec la gerbe portée par les enfants se dirigea vers le monument aux morts.

Le maire prononça quelques mots pour rappeler la souffrance des soldats lors de cet épisode douloureux de l'histoire mondiale, citant notamment quelques lignes de Louis FONTANILLE qui a vécu en direct la mort de son frère mobilisé tout près de lui.

L'appel aux morts (25 noms pour notre petit village !) fut suivi de la minute de silence, de la Marseillaise interprétée par Georges CHABOT, un poème lu par Vincent CHABOT et l'appel du Président de la République à honorer les morts de toutes les guerres même les conflits actuels.

Un vin d'honneur conclut cette commémoration..

Discours du maire :

"Une date peu banale aujourd’hui : 11/11/11. Voici 93 ans les mêmes cloches que nous venons d’entendre annonçaient dans l’allégresse la victoire et la fin des hostilités de cette affreuse guerre qui a fait tant de victimes en déchirant l’Europe.

Nos 25 jeunes aiguézois dont le nom est gravé sur ce modeste monument aux morts ainsi que sur le marbre d’une chapelle dans l’Eglise sont là pour témoigner de l’affreux massacre qui a saigné nos campagnes de 1914 à 1918. Jamais partis de chez eux, des terres aiguézoises qu’ils travaillaient en famille, ils ont été immergés directement dans un enfer de boue, de balles, d’obus, de baïonnettes, de gaz, de sang, beaucoup de sang parmi les morts et les mutilés. Un sacrifice qui n’a pas réussi à éradiquer la guerre. Si au moins ils avaient réussi le pari de mourir pour la paix en mourant pour la France, leur sacrifice n’aurait pas été vain !

Dans les carnets de Paul FONTANILLE Sergent Major à la 3^e Compagnie du 6^e bataillon des Chasseurs Alpins à la page du 10 Mars 1915 :

« je venais de manger et me chauffais dans mon abri avec Moreau le sergent téléphoniste . Coïncidence bizarre je lui parlais de mon frère et lui racontait que tout jeune il avait failli se noyer dans une fosse à purin. A ce moment là le capitaine est appelé au téléphone. J’entends qu’on lui dit de prendre les écouteurs.

La conversation terminée il se tourne vers moi et me dit que le sous lieutenant Fontanille, mon frère, vient d’être blessé, que les brancardiers sont partis le chercher.

Je pars au poste de secours du Sattel où je compte le trouver.

Au poste de secours, le médecin auxiliaire Chaussegros me dit que mon frère n’est pas arrivé, que cela ne saurait tarder, mais s’empresse d’ajouter qu’il a entendu dire que c’était grave, qu’il valait mieux que je ne reste pas là et que j’aille voir le lieutenant colonel qui en savait peut-être plus long que lui. Un infirmier du 23^e me tient le même raisonnement. Des brancardiers rentrent mais j’avais entendu qu’on les avertissait que j’étais là. A moi ils disent qu’ils n’ont pu le trouver. Bien sûr je comprends et tombe effondré. Je supplie Chaussegros de me dire toute la vérité, il me répond qu’il n’en sait pas davantage et insiste encore pour que j’aille voir le lieutenant colonel.

Je demande aux brancardiers de partir encore avec moi, ils me disent oui d’abord tout en me soutenant, puis qu’ils iront seuls car il faut que je me repose. On m’emmène chez le lieutenant colonel. En me voyant il devine que j’ai compris mon malheur et s’avance vers moi la main tendue en me disant : mon pauvre Fontanille votre frère est mort glorieusement pour la France. «

FONTANILLE Augustin Louis né à AIGUEZE le 16 Juillet 1880 décédé à SILLAKERKOFF en Alsace le 10 Mars 1915 (son corps n’a jamais été retrouvé)

EMBRASSER FANNY N'EST PLUS UN VAIN MOT

Les pétanqueurs aiguézois ont agrémenté le terrain du jeu de boules par un accessoire utile pour ceux qui sont coutumiers du score vierge.

Pour qu'embrasser Fanny ait enfin du sens, ils ont mis Alain MAILLET à contribution et les compétences des uns et des autres se sont ajoutées pour produire cette représentation anatomique parfaitement intégrée dans le paysage.

Ils ont même choisi la bonne hauteur pour le Marseillais paraît-il coutumier des 0 à 13 !

Vive la bonne humeur que l'on aimerait encore plus présente dans nos murs pour chasser une certaine grisaille hivernale !

Le texte ci dessous retraçant l'histoire de la Fanny est extrait du site internet "La boule bleue".


"L' Histoire de Fanny

Cette tradition serait originaire de Savoie. La Fanny originelle aurait été serveuse au café de Grand-Lemps, juste avant la Première Guerre Mondiale. La légende dit que, par gentillesse, elle se laissait embrasser par les clients qui venaient de perdre aux boules sans marquer le moindre petit point. La bise se faisait alors sur la joue. Jusqu'au jour où, toujours selon la légende, le maire du village perdit à son tour et vint quémander sa " récompense ". Fanny avait-elle un grief contre lui et voulut-elle l'humilier en public ? Nul ne le sait. Ce qui est sûr, c'est qu'elle grimpa sur une chaise, releva ses jupes et lui tendit... ses fesses ! Le maire ne se démonta pas. Deux baisers retentissants émoustillèrent tout le café. C'était le début d'une longue tradition.

Le problème, c'est que les joueurs n'ont pas toujours une Fanny sous la main. Ou plus exactement une Fanny qui accepte de dévoiler ses fesses en public. C'est pourquoi, dans tous les lieux où l'on joue aux boules, une place d'honneur est réservée à une Fanny postiche. Les malheureux perdants sont alors obligés de venir embrasser en public les fesses toujours rebondies d'une Fanny représentées sous forme de tableau, de poterie ou de sculpture. Ainsi, cette pratique est devenue l'humiliation suprême pour tout joueur de boules. Coïncidence ? L'expression " être capot " qui, à la belote, signifie ne pas avoir marqué un seul point dans une mène, viendrait d'une expression provençale qui veut tout simplement dire: " faire baiser le cul " !
Comme quoi, en Provence, les boules et la belote se rejoignent toujours... "

Les gardes de la Réserve Naturelle Nationale des Gorges de l’Ardèche et leurs partenaires se forment à l’archéologie à Orgnac

Les gardes de la Réserve Naturelle Nationale des Gorges de l’Ardèche et leurs partenaires se forment à l’archéologie à Orgnac

En ces premiers jours pluvieux de novembre, le Syndicat de Gestion des Gorges de l’Ardèche avait organisé, en partenariat avec les Directions Régionales des Affaires Culturelles de Rhône-Alpes et Languedoc-Roussillon (Services Régionaux d’Archéologie – SRA), une formation destinée aux agents de terrain sur la thématique de l’archéologie et des cavités. Ceci s’est déroulé sur deux journées dans les locaux du Musée de Préhistoire d’Orgnac, aimablement mis à disposition pour l’occasion.

L’objectif était de donner aux gardes des éléments

de compréhension des patrimoines culturels que comptent les Gorges de l’Ardèche qu’ils parcourent au quotidien, considérant qu’il s’agit d’un sujet moins connu que la faune, la flore, la forêt ou les différents milieux naturels. A l’issue du stage, les agents devaient savoir, de manière plus concrète, comment agir et réagir en cas de découverte d’un site ou de gisements archéologiques, en cas de constat de dégradation, etc.

Ainsi, sous la houlette de Philippe Galant de la DRAC Languedoc-Roussillon, les différents intervenants ont tour à tour présenté : la législation et l’organisation de l'archéologie en France, la Préhistoire en Ardèche (Bernard Gély, DRAC Rhône-Alpes), qu’est-ce qu’un site archéologique ?, les mobiliers archéologiques dans le temps (Françoise Prud’homme, Musée de préhistoire d’Orgnac).

En début de stage, Patricia Guillermin, conservatrice du Musée d’Orgnac, a présenté le Musée, structure de conservation, de recherche mais aussi de mise en réseau.

Enfin, une mise en pratique « sur le terrain » a clôturé les deux journées de formation.

Compte tenu du caractère quasi universel du sujet, le SGGA avait convié des partenaires voisins à participer également à cette formation. Ainsi, plusieurs agents de l’ONF de l’Ardèche et du Gard étaient présents, ainsi que des agents du Conseil général du Gard et du Syndicat de Gestion des Gorges de l’Ardèche.

A l’issue du stage, tous les participants ont unanimement reconnu tout l’intérêt d’une telle initiative qui trouvera sans doute des prolongements encore plus opérationnels dans un futur proche.

Publié par RAOUX Bénédicte le 9.11.11

NOTRE SCULPTEUR Robert DE TRAXEL

Nous avons obtenu l'hospitalisation en maison de repos à l'hôpital de PONT ST ESPRIT de notre sculpteur Robert DE TRAXEL. Aujourd'hui âgé de 96 ans il traversait une période de grande faiblesse.

Ci-dessous quelques images qui nous rappellent ce qu'il a créé pour notre village et qui continue aujourd'hui de susciter la curiosité des visiteurs de notre village .

reportages photos et video sur you tube :

http://www.youtube.com/watch?v=zznmR5AXTgo

http://www.youtube.com/watch?v=EKhaf4PkylM

http://youtu.be/q-zoGYokhYs

ENFIN DE L'EAU DANS L' ARDECHE 4 et 5 NOVEMBRE 2011

Après une période de sècheresse sans précédent qui a pu être compensée par des lâchers d'eau des barrages gérés par EDF et ARDECHE CLAIRE, chargés de maintenir l'étiage, la régulation par la Nature elle-même n'a pas fait dans le détail : même si ce n'est pas la crue du siècle, nos copains d'en face ont rejoué à "trempe-cul".

L'ardèche est proche du niveau des crues de 1992.

LES CRUES DE L’ ARDECHE :

sources : DDE Ardèche et « Ardèche Claire »

Année	Date	Observations	Hauteur et débit à VALLON
1508	26 J	Déluge de Ste Anne
1543	6 Septembre	Grand déluge
1552 :		L’ensemble du Vivarais est touché par de grosses inondations (près de 600 morts).
1567	1er Octobre	Tanneries de Vals emportées
1609	13 Septembre	Pont de Vals emporté
1644	3 Septembre	Crue très forte : 16,88 m au moulin de Salavas	16 m . 7150 m3/s
1679	28 Septembre	Pont de Vals et pont d’Aubenas emportés
1772	9 Septembre	Pont d’Aubenas emporté—14,70 m au moulin de Salavas	14m . 5774 m3/s
1782	16 Septembre	Pont de Voguë emporté—Plaine d’Aubenas inondée
1827	9—13—18 0ctobre	Pont d’Aubenas, pont de Vals, pont de St Just et oulin de Vogué emportés. Fermiers réfugiés dans les arbres—Foudre sur le clocher d’Aubenas– Inondation mémorable : 17 m au Moulin de Salavas- 3 jours de crue Nombreux morts. 792mm d’eau en 21heures à joyeuse.	17m . 7850 m3/s
1857	10—19 Septembre	7 maisons emportées à Pont d’Aubenas . Dégats à Mayre. Ouragan à Largentière-14,20m au Moulin de Salavas.	13,50 m . 5436 m3/S
1890	22 Septembre	La plus forte crue connue. Arbres, bétail, maisons emportés. Pont d’Aubenas miné, Dégats à Mayre : 28 ponts emportés, 50 morts. 17m au Pont de Salavas. 6000 m3 d’eau à Vallon	17,30 m . 8060 m3/s
1899	2 Novembre	10,20m au pont de Salavas.	10,20 m . 3202 m3/s
1900	29 Septembre		13,80 m . 5639 m3/s
1907 (6 crues)	16 Octobre		11,50 m 4068 m3/s
1958	30 Septembre		12,20 m . 4548 m3/s
1963	6 Octobre		10,10 m . 3146 m3/s
1970	8 Octobre		10 m . 3084 m3/s
1976 ( 13 crues)	10 Novembre		10,50 m . 3394 m3/S
1977	23 Octobre		12 m . 4411 m3/s
1980	21 Septembre		8,10 m . 226 m3/s
1982	8 Novembre		11,20 m . 3863 m3/s
1992	22 Septembre	Gros dégats. 4 morts .	9,50 m . 2773 m3/s
1995	5 Octobre		9,23 m . 2606 m3/s
1996	13 Novembre		9,22 m .2615 m3/s
2000	14 Novembre		6,42 m . 1635 m3/s