trois générations de CHABOT présentant le primeur 2008
un exercice périlleux : le lever de verre
le journaliste de la Tribune est là, un pur trempe-cul qui a écrit , ce Jacques MEUNIER là dans le journal pré-cité :
"A la Tour Paradis, la fête des primeurs, c'est plus qu'une habitude, c'est une cérémonie, un rituel, et la descendance du Fernand Chabot sait recevoir autour de ses productions. Caillettes, saucisson d'Orgnac et castagnes accompagnaient la dégustation du vin nouveau, aux côtés des charcuteries et salaisons de Langogne, fidèles au lieu. Pour les douceurs comme pour les marrons chauds, le "vin de plouvine", sur vendanges tardives, est une réussite en bouche. Le maire du village médiéval labellisé, Roland Vincent, n'a pas manqué de venir tester le clair vin nouvelet avec la daube d'un sanglier pourtant conquis sur terres trempeculesques : des Gorges jusqu'au Ventoux, Aiguèze domine l'Ardèche, c'est bien connu..."
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