lundi 26 janvier 2009

LE DISCOURS D'INTRONISATION DE CHRISTINE


Voici le texte de présentation de la nouvelle intronisée que j'ai rédigé et que le parrain georges CHABOT a interprété :


"Tout le monde sait que Christine rime avec cuisine, or cuisine rime avec Sam et Sam rime avec Sarrasine, donc c’est logique que Christine rime (entre autre) avec Sarrasine. On appelle ça un syllogisme !

C’est bien dans cette optique que je vous convie pour un menu peu ordinaire qui retrace la vie de notre jeune quadra (pas quadrangulaire mais comme vous l’aviez bien compris quadragénaire)

En entrée je vous propose :

Œufs de caille pochés au bourgogne enveloppés dans une feuille de vigne.

C’est bien comme cela que commence notre aventure gastronomique : Christine est née en 1960 en plein cœur de la Bourgogne au milieu des vignes ! Et son intégration dans le paysage passa par une immersion dans les crus si réputés de cette région , ce qui devait déclencher une passion œnologique, logique n’est-ce pas ?

Faisons une petite pause rince-gosier avec :

Trou d’air au marc égrappé de Bourgogne

D’où vient ce trou d’air énigmatique, sinon d’un amour spécial pour l’aviation qui est un signe de liberté. Si peu à voir avec le galvaudé « trou normand ».

Passons aux plats de résistance :

Fruits de mer façon Sarah

Il a bien fallu faire ses premières amours en tâtonnant entre la publicité marketing, se rapprocher de la restauration en servant dans des cafés ou des restaurants. Puis se mettre à aimer les fruits, fruits de mer, on connaît bien mais pourquoi façon Sarah ? tout simplement parce que notre Christine qui s’est mise à rimer avec Camargue s’est retrouvée aux Stes Maries de la Mer aux bras du patron du restaurant « l’oliviéri » Initiation forcenée à la magie de la cuisine, à l’association des goûts, le mariage des vins et des mets , surtout des vins d’ailleurs !


Sarrasine de veau avec ses grosses légumes

Avant d’en arriver à nous concocter une sarrasine de veau, Christine qui rimait alors avec « trop c’est trop », s’est d’abord immergée dans les côtes du Rhône en créant l’auberge la Table Ronde. Mais à trop s’immerger on submerge et on risque de se noyer il suffisait de s’accrocher à la main tendue de Sam pour repartir avec un souffle nouveau (bouche à bouche ou verre à verre), l’histoire ne le dit pas concrètement.
Et nos deux grosses légumes de la gastronomie se sont retrouvées à Aiguèze pour qu’éclose alors dans un melting pot de saveurs délicates et originales et sous des voûtes médiévales un feu d’artifice de préparations culino-artistiques.

Convivial de fiction arrosé de crème romanesque.

C’est un dessert à consommer sans modération, pour rappeler que Christine rime aussi avec littérature et qu’elle aime se surprendre à s’évader dans la lecture .
Son fantasme : galoper un cheval qui aurait des ailes et autant de reprise qu’une cinq cents cm3.

Vins pour accompagner ce menu :

Château pétrus de 20 ans d’âge
Côte du Rhône « cuvée la Table Ronde »
Cru Mystère à déguster à l’aveugle un exercice dans lequel excelle Christine comme elle va d’ailleurs nous le démontrer sans tarder."

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